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de l'autre côté de la membrane Objouets en cage (4'45) |
Propos : points de son et d'espace, lignes de temps. Histoire : séquence réalisée initialement pour l'installation Densités, adaptée ensuite sur les 67 points de l'espace des Préludes. Origine des sons : objets sonores simples,
le plus souvent de type percussif, issus de prises de
sons de corps sonores réalisées depuis les années
80, et de compléments provenant de banques de sons de bruitages. Déroulement : Compatibilités : en tant que pièce basée exclusivement sur une écriture discrète de l'espace (un point-son correspond à un point-espace) qui plus est sans liens de causalité apparents, son adaptation technique est aisée et devrait fonctionner quelle que soit la disposition haut-parlante rencontrée pour la diffusion. Mais comme la clarté de la définition spatiale de ces points est essentielle, il est fortement souhaitable de disposer d'une résolution élevée et de conserver la distribution des points dans les trois dimensions de l'espace. Donc pour résumer : à voir... |
C'est l'une de mes compositions qui utilise le
plus grand nombre de pistes, cent-vingt-huit, chacune étant
liée à un point de l'espace, ou plus justement,
la moitié l'étant directement et l'autre moitié
passant par un plugin de réverbération 64 canaux
discrets. La piste centrale
en bleu comporte un objet d'automation qui contrôle l'intensité
de la réverbération multiphonique. Cette réverbération
(UniVerb 64) traite chaque canal d'une manière indépendante
et permet donc de préserver le caractère spatialement
ponctuel
des objets, il n'y a pas de diffusion qui noierait l'espace
comme c'est souvent le cas. Le temps de réverbération est réglé
sur 240 secondes, se rapprochant d'un gel tout en induisant
néanmoins une atténuation lente des traînées
d'évènements. |