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de l'autre côté de la membrane Décompte à rebours (9'48) |
Propos : les chiffres utilisés dans les journaux et les médias pour rendre concret des phénomènes de société qui sot distribués dans le temps ou l'espace sous la forme "toutes les x secondes" (ou minutes, ou jours). Histoire : la toute première version (Comptine) a été réalisée à l'occasion d'un colloque d'anthropologie à Grenoble, comme un interlude placé entre deux conférences. Les sons étaient joués par les lecteurs mp3 incorporés dans les minuscules et dérisoires enceintes, leur synchronisation s'effectuant par décompte (dans ma tête) et déclenchement manuel. Origine des sons : voix d'ami-e-s
et
sons issus de disques de bruitages, plus pour la fin des morceaux
pris dans mes captations sur DAT dans les années 90.
Déroulement : Compatibilités : la pièce d'origine étant octophonique, l'espace de celle-ci reste surtout caractérisé par ses "trous" (à par la fin) et la permanence temporelle des positionnements. Le seul impératif est de pouvoir distribuer les personnages et les sons qui leurs sont associés d'une manière approximativement équidistante. Il est donc pour une fois très facile de réduire la résolution et les dimensions spatiales en fonction des contraintes de l'espace de diffusion qui peut ainsi être pratiquement n'importe lequel sans qu'il y ait bouleversement du sens de la composition ou dénaturation des sons. |
La structure octophonique initiale a perduré ici, de
même que les entrées successives qui correspondaient
à la distribution des huit petites enceintes. |
Extrêmement peu de travail sur le mixage final qui reste dans sa droiture et sa simplicité, excepté le resserrement sur le grand mélange final. |