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de l'autre côté de la membrane Des chiffres et des gestes (4'26) |
Propos : matérialiser les face du cube haut-parlant par l'analogie avec les faces d'un dé, où s'inscrivent le tracé des chiffres et des geste-matières selon l'emplacement des points ; faire résonner le cube haut-parlant virtuel en un objet palpable ; structurer la dimension cinétique selon une organisation simple et lisible. Histoire : les chiffres-tracés ont été créés pour Peintures noires en 2005 puis repris l'année suivante dans le quatrième mouvement de Constructions I, et occasionnellement par la suite dans d'autres pièces. L'idée de représentser les faces d'un cube par des matériaux différents était déja présente dans la troisième partie du Topogéométricon (Volumes, Surfaces, Couleurs) de L'œil tactile en 1997. Certains des chiffres-paroles introduits dans la première version de Pré-histoire(s) ont aussi été précédemment utilisés dans Les paradoxes d'une sphère tronquée en 2019. Sources sonores : Déroulement : Compatibilités : le principe même de s'appuyer sur les faces d'un cube rend cette pièce impossible à rendre aussi bien sur un dôme que sur un acousmonium, les points haut-parlants situés au sol et à l'intérieur de l'espace sont également indispensables. Sa résolution peut par contre être réduite éventuellement jusqu'à 27 points (3x3x3 ou 8.8.8/1.1.1). |
Le son mono des chiffres dessinés est spatialisé
sur les six surfaces du cube avec le SpatLayers, configuré
pour produire une masse spatiale étroite (valeur de l'aire
très réduite) afin d'obtenir un tracé qui
soit le plus fin et lisible possible. |
Première mise en place du projet Reaper : en haut la
piste 63 canaux des chiffres-tracés, suivie des sept
pistes correspondant à chacun des chiffres-objets (dans
le désordre). |
Quelques-uns des positionnements spatiaux des chiffres-objets : "2",
"3", "4" et "5", "1"
étant simplement placé sur le point central haut.
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Projet final, avec une organisation statique des pistes, de
haut en bas : |
Le rendu final présente pas mal de resserrements et même de superpositions sur la deuxième moitié de la pièce : on passe ainsi des 5'15 du mixage aux 4'26 de la version finale. |